E-auction 600-568498 - fme_940809 - LOUIS-PHILIPPE I Médaille, Jules Janin, Vicomte de Chateaubriand, refrappe
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NO BUYER'S FEE.
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Estimate : | 65 € |
Price : | 11 € |
Maximum bid : | 31 € |
End of the sale : | 14 October 2024 21:13:20 |
bidders : | 5 bidders |
Type : Médaille, Jules Janin, Vicomte de Chateaubriand, refrappe
Date: 1844
Metal : copper
Diameter : 41 mm
Orientation dies : 12 h.
Engraver BOVY Antoine (1795-1877)
Weight : 39,72 g.
Edge : lisse + proue CUIVRE
Puncheon : Proue CUIVRE
Coments on the condition:
Patine marron hétérogène avec des taches d’oxydation. Présence de traces d’usure et quelques coups et rayures. Restes de brillant de frappe au revers
Catalogue references :
Obverse
Obverse legend : F. A. VICOMTE DE - CHATEAUBRIAND.
Obverse description : Buste habillé de trois quarts face de Chateaubriand, signé : A. BOVY - D’APRES GIRODET.
Reverse
Reverse legend : LA BRETAGNE HISTORIQUE PAR JULES JANIN.
Reverse description : Écu couronné de Bretagne, signé : ERNEST BOURDIN EDITEUR 1844..
Commentary
Gabriel-Jules Janin, né à Saint-Étienne le 16 février 18041 est mort à Paris le 19 juin 1874, est un écrivain et critique dramatique français.
Fils d’un avocat, Janin reçoit une bonne éducation, d’abord dans sa ville natale puis au lycée Louis-le-Grand à Paris. Après un passage dans l’étude de l’avoué Jean-Baptiste Guillonnet-Merville, où il sera saute-ruisseau en même temps qu’Honoré de Balzac, il devient journaliste et travaille notamment à la Revue de Paris, à la Revue des deux Mondes, au Figaro et à la Quotidienne. Il fut parmi les fondateurs de la Revue de Paris et du Journal des Enfants. Il se fait connaître en 1827 avec le roman L’Âne mort et la femme guillotinée. La Confession en 1830, un peu moins profond, mais au style encore plus remarquable, et Barnave en 1831, où il attaque la famille d’Orléans, finissent d’asseoir sa réputation.
Entre-temps, il entre comme critique au Journal des Débats où il reste quarante ans. Son autorité le fait surnommer « le prince des critiques ».
Fils d’un avocat, Janin reçoit une bonne éducation, d’abord dans sa ville natale puis au lycée Louis-le-Grand à Paris. Après un passage dans l’étude de l’avoué Jean-Baptiste Guillonnet-Merville, où il sera saute-ruisseau en même temps qu’Honoré de Balzac, il devient journaliste et travaille notamment à la Revue de Paris, à la Revue des deux Mondes, au Figaro et à la Quotidienne. Il fut parmi les fondateurs de la Revue de Paris et du Journal des Enfants. Il se fait connaître en 1827 avec le roman L’Âne mort et la femme guillotinée. La Confession en 1830, un peu moins profond, mais au style encore plus remarquable, et Barnave en 1831, où il attaque la famille d’Orléans, finissent d’asseoir sa réputation.
Entre-temps, il entre comme critique au Journal des Débats où il reste quarante ans. Son autorité le fait surnommer « le prince des critiques ».